Merci NILDA
Tu as été un membre du Conseil National, tu étais un Artiste engagé à nos côtés pour tous les Artistes, de toute la Culture Populaire (Animation, Sport) à la Culture (Spectacle, Cinéma …)
Bonne Route
Le SNAPAC-CFDT reconnaissant !
Tu as été un membre du Conseil National, tu étais un Artiste engagé à nos côtés pour tous les Artistes, de toute la Culture Populaire (Animation, Sport) à la Culture (Spectacle, Cinéma …)
Bonne Route
Le SNAPAC-CFDT reconnaissant !
Didier Lockwood, violoniste, compositeur, pédagogue n’est plus.
Attentif, engagé tant à la scène qu’auprès des étudiants dans une transmission renouvelée,
il provoquait les rencontres et les mutations musicales et chorégraphiques.
Au ministère de la culture, à la création des diplômes de l’enseignement supérieur d’artiste-interprète
Il fût un compagnon tout en réflexion et participation de notre fédération F3C.
Danse et musique vivante, ces couleurs à la scène conserveront cet esprit d’énergie vitale, d’écoute et de fusion qui réconciliait les courants du jazz et le jeune public.
Le Snapac-CFDT ET la F3C-CFDT reconnaissante.
http://www.f3c-cfdt.fr/secteurs/culture/en-memoire-de-didier-lockwood
Par M. F. avec AFP – Publié le 05/06/2017 à 18:01
Les artistes du chœur et de l’orchestre de l’Opéra de Toulon ont reconduit dimanche (4 Juin 2017) soir leur grève, un mouvement rare qui a entraîné l’annulation de la première de « Roméo et Juliette » et rend incertaine la représentation de mardi.
« La grève est maintenue, il n’y a toujours pas de négociation avec la direction« , a déclaré ce lundi Antonia Coste Ferral, l’une des représentantes du personnel. La première de « Roméo et Juliette », prévue dimanche soir, avait été annulée en raison de cette grève.
« Respectueux de notre public, nous tenons à l’informer que nous ne savons pas si la représentation du mardi 6 juin à 20h00 aura lieu », a annoncé la direction dans un communiqué lundi.
Le mouvement, soutenu par le SNAPAC-CFDT, la CGT, et le SGAAS FO, demande « l’application de la convention collective des entreprises artistiques et culturelles, et donc le respect des minima salariaux correspondant ».
Selon les syndicats, les artistes de chœur et les musiciens sont payés de 15 à 20% en dessous des salaires conventionnels. La direction explique n’avoir pas la même interprétation des textes applicables.
Le gouvernement doit comprendre que les intermittents du spectacle ne veulent plus de ces négociations biannuelles qui n’ont pour objectifs que de réduire leur assurance-chômage.
Ils en ont assez d’être considérés comme une variable d’ajustement de l’assurance chômage.
Ils travaillent, et entre deux prestations ils continuent de travailler, et doivent être soutenus par tous.
Et oui, pour un spectacle donné, il y a des heures de travail, de préparation, d’entrainement. Un danseur, un musicien, un jongleur, s’entraine quotidiennement pour pouvoir vous divertir; et un technicien doit aussi se former sans arrêt aux évolutions technologiques. Ce qu’il fera en dehors de son temps de travail.
Les Intermittents du spectacle participent largement à l’enrichissement du pays (Les revenus de l’économie de la culture et de la création ont représenté 83,6 milliards d’euros en 2013, dont 72,7 milliards de revenus directs – Extraits d’une Etude publiée en Octobre 2015 par France Créative, en partenariat avec EY, (Ernst & Young Advisory )
Devant l’incapacité des gouvernements successifs à gérer leur statut comme une force économique à part entière, ils n’ont d’autre solution que d’occuper les lieux de culture.
Ce n’est pas à l’Unedic de financer les industries culturelles et créatives.
Qui dit Unedic, dit la seule population du privé qui abonde cette caisse.
Quid des autres, fonctionnaires, professions libérales…
Nous demandons que le pays entier participe à la vie économique de ce secteur, créateur de richesse et d’emploi, (1,3 millions – même source) puisque le pays entier en bénéficie!
Par exemple, il y a en France en moyenne 1 600 festivals par an, qui renforcent l’attractivité de notre pays, rempli les hôtels, les brasseries.
Pourquoi, alors qu’ils en profitent largement, ces commerçants ne participent pas à notre modèle économique…?
Paris – Publié le mardi 29 mars 2016 à 17 h 26
News Tank Essentiel n° 65709
« Exprimer leur plus vive indignation face à la persistance du Gouvernement et de la majorité des parlementaires de vouloir instaurer le travail artistique gratuit dans l’ensemble des entreprises de spectacles qu’elles soient subventionnées ou pas », telle est la réaction commune des fédérations CFDT, CFTC, CGC, CGT et FO au vote en 2e lecture à l’Assemblée nationale de l’article 11A relatif aux pratiques artistiques en amateurs au sein du texte de loi LCAP, le 29/03/2016.
« Face à cette situation inacceptable elles suspendent d’ores et déjà leur participation à toute négociation collective dans les champs du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma. Devant le naufrage du ministère de la Culture et de la Communication, elles attendent d’être reçues au plus haut niveau de l’État avant le 05/04/2016 », déclarent ces fédérations qui « [rejettent] l’hypothèse qui ne ferait que dresser amateurs et professionnels les uns contre les autres ».
Communiqué commun des fédérations CGT, CFDT, CFTC, CGC et FO le 29/03/2016
L’article 11A adopté en séance publique dans la nuit du 22 au 23/03/2016
Reconnaissance des pratiques artistiques amateurs
Amendement n° 399 (présenté par le Gouvernement)
Objet : le présent amendement prend en compte la dernière étape de la concertation qui s’est tenue avec les partenaires sociaux et les associations et fédérations d’amateurs à la suite de l’examen de l’article 11A en deuxième lecture en commission des Affaires culturelles et de l’Éducation de l’Assemblée nationale.
Il tient notamment compte du fait que :
dans le champ non lucratif sont inclus les festivals de pratiques en amateur ; et que la recette attribuée aux groupements d’amateurs peut être affectée aux frais engagés par ces groupements pour les représentations concernées mais aussi à l’ensemble de leurs activités y compris caritatives, ce qui permet donc à ces groupements d’amateurs d’en verser tout ou partie aux associations qui font appel à eux pour un spectacle ;
dans le champ lucratif, le principe est la présomption de salariat et le respect des rémunérations minimales conventionnelles ;
toutefois par dérogation à ce principe, les structures de création, de production, de diffusion peuvent avoir recours à un ou plusieurs amateurs considérés en tant qu’individus ou à des groupements d’amateurs structurés sous forme associative sans les rémunérer dès lors que les structures ont une mission d’accompagnement, de valorisation de la pratique amateur ou de projets pédagogiques, définie soit dans ses statuts soit dans une convention établie entre la puissance publique.
Enfin cette possibilité de recourir à des amateurs individuels ou à des groupements d’artistes amateurs sera précisée par voie réglementaire.
L’ensemble de ces précisions permet d’aboutir à un article respectant à la fois pleinement la présomption de salariat et la pratique professionnelle tout en sécurisant et en prenant en compte l’importance de la pratique individuelle et collective de la pratique en amateur pour la vie culturelle de notre pays.
Sous-amendements n° 402 (présenté par Paul Molac) et n° 404 (présenté par Richard Ferrand)
Objet : limiter dans les statuts des structures de création, de production, de diffusion, d’exploitation de lieux de spectacles, les missions d’accompagnement et de valorisation aux seuls artistes et groupements d’artistes amateurs qui seraient issus du territoire
À l’alinéa 14, supprimer les mots : « du territoire ».
Paris – Publié le mercredi 19 août 2015 à 9 h 40 – Essentiel n° 49300La loi n° 2015-994 du 17/08/2015 relative au dialogue social et à l’emploi est promulguée au Journal officiel le 18/08/2015. Engagé le 22/04/2015, l’examen du projet de loi, modifié en Nouvelle lecture par le Sénat le 20/07/2015, a été achevé par une adoption en lecture définitive par l’Assemblée nationale le 23/07/2015, dans sa version déjà adoptée par elle le 08/07/2015 après l’échec d’une CMP.
C’est finalement à l’article 34 de cette version qu’est inscrit dans le code du travail que la spécificité des métiers du cinéma, de l’audiovisuel et du spectacle vivant justifie l’existence des règles de l’assurance-chômage spécifiques aux intermittents du spectacle.
I. – La section 3 du chapitre IV du titre II du livre IV de la cinquième partie du code du travail est ainsi modifiée :
1° Au début, est insérée une sous-section 1 intitulée : « Contributions et allocations » et comprenant les articles L. 5424-20 et L. 5424-21 ;
2° Est ajoutée une sous-section 2 ainsi rédigée :
Règles spécifiques en matière de négociation des accords relatifs à l’assurance chômage
source © News Tank Culture 2015