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Réponses à la carte : le service d’accueil téléphonique dédié aux adhérents

C’est l’un des services-phares de la CFDT disponible dès que vous adhérez : ce service d’accueil téléphonique ouvert 6 jours sur 7 vous permet de poser toutes vos questions liées au travail, à votre vie professionnelle ou personnelle.

Le service Réponses à la carte est également accessible en ligne sur votre espace adhérent monespace.cfdt.fr

Avec Réponses à la carte, il y a toujours quelqu’un qui vous écoute, qui vous répond, qui vous oriente.

Un numéro de téléphone réservé à tous les adhérents de la CFDT : 09 69 39 19 39 (non surtaxé), accessible du lundi au vendredi de 9h à 19h et le samedi de 9h à 13h.

C’est aussi un accès 7 jours sur 7, 24h/24h, en remplissant un formulaire depuis votre espace adhérent sur monespace.cfdt.fr

Vous avez une question sur votre contrat, sur une procédure de licenciement, ou relative à votre situation personnelle ?

Un conseiller vous répond. Qu’il s’agisse d’une problématique purement professionnelle – question relative au contrat de travail, aux congés, à la rémunération, aux droits à la formation professionnelle, préparation et départ à la retraite, à la protection sociale, aux indemnités chômage, etc. – ou d’une question relevant davantage de la vie privée : un problème lié au logement, au surendettement, à une mutation professionnelle et à son impact sur la vie de famille, en termes de suivi du conjoint…

Le travail de nos conseillers s’inscrit bien dans un registre complémentaire au travail des militants sur le terrain, il ne s’y substitue pas ! Réponses à la carte n’a pas vocation à devenir une « super-permanence juridique ».

Avec Réponses à la carte, des professionnels de l’écoute et de l’accompagnement répondent aux questions les plus simples et vous orientent vers des militants spécialisés proches de vous pour des réponses plus spécifiques en fonction des thématiques – emploi, protection sociale, formation, logement, santé au travail, handicap, divorce etc. 

Ainsi  c’est bien grâce à la force du réseau CFDT et à sa compétence collective que Réponses à la carte fonctionne.

Alors que ce soit pour un appel d’urgence (vous venez de recevoir une lettre de licenciement et vous souhaitez être accompagné), des interrogations sur le chômage partiel ou le télétravail en cette période de crise sanitaire due à la Covid-19, ou encore tout simplement pour préparer votre retraite, n’hésitez pas à faire appel à Réponses à la carte. 

Les 5 + de Réponses à la carte :

• un large créneau horaire pour contacter la CFDT : une permanence d’accueil téléphonique 6 jours sur 7
• une prise en charge immédiate de votre demande
• un accueil et une écoute de qualité
• un conseil personnalisé via un réseau d’experts
• une réponse rapide.

NON à l’AUSTÉRITÉ CULTURELLE ! 

https://lc.cx/PétitionNONausteritéculturelle

« Chers publics,  


Chères et chers collègues,   

L’heure est grave et nous avons besoin de votre soutien.   

Avec les coupes budgétaires massives annoncées récemment par Bruno Le Maire, le gouvernement porte une attaque sans précédent à l’encontre des services publics, victimes des arbitrages rendus loin du Parlement pourtant chargé de voter les lois de finances ou leurs corollaires rectificatifs. Le décret publié au journal officiel du 22 février dernier offre une liste édifiante des abandons ainsi décidés sous l’aune d’une austérité budgétaire qu’une politique d’impôts justes et efficaces auraient permis d’empêcher. Les déclarations du même ministre par voie de presse le 7 mars dernier confirment que les coupes de février ne sont qu’une première étape.   

Les organisations de salarié·es et d’employeur·euses membres de la branche de la convention collective nationale des entreprises artistiques et culturelles (spectacle vivant subventionné) ont découvert ces annonces avec effroi.  

En effet, le service public des Arts et de la Culture que nous représentons est touché par cette première vague d’annulation de crédits qui s’élève à plus de 202 millions d’euros, dont près de 96 millions visent directement le programme de la création artistique. Ce niveau de coupes budgétaires est absolument inédit et menace l’ensemble de l’écosystème, déjà largement déstabilisé par les effets de la sortie complexe de la crise sanitaire, et des crises inflationnistes et énergétiques plus récentes.    

L’activité artistique est en berne, les équipes artistiques ne peuvent plus produire, les coproducteur·trices et les diffuseur·euses voient le disponible pour l’activité artistique fondre comme neige au soleil. Un plan « antisocial » à bas bruit est en œuvre. Des milliers d’emplois sont directement menacés dans le silence assourdissant des élu·es de la Nation.  Nous ne pouvons pas l’accepter sans rien dire. Nous ne pouvons laisser dire que l’affaire est réglée par des astuces budgétaires car nous sommes solidaires de tout l’écosystème. Nous resterons solidaires et déterminé·es à empêcher ces mesures gravissimes.  

L’attaque est si forte que notre conviction est de rassembler tou·tes les opérateur·trices des services publics ainsi mis en cause. Cette politique ne vise pas seulement la Culture, elle vise aussi l’Education nationale, la recherche, la transition écologique dans des proportions totalement invraisemblables, les collectivités territoriales, pour ne citer que les services publics indissociablement liés à la politique culturelle. Mais la Santé, le Logement, la politique de la ville, les Affaires étrangères et tant d’autres, sont aussi impactés.  

Bruno Le Maire, premier comptable de ces décisions, répète à l’envie le tabou gouvernemental contre tout nouvel impôt alors que les entreprises du CAC 40 affichent de nouveaux records de profits.   

Le renoncement social et écologique de ce gouvernement est hors de proportion.

Pendant ce temps, le Premier ministre parasite les négociations des partenaires sociaux sur l’assurance chômage. Le ministre de l’Economie et des Finances exprime même son souhait définitif de la fin du paritarisme social, et menace une nouvelle fois de s’en prendre à celles et ceux qui dans notre pays se trouvent privés d’emploi. La mise en cause directe du paritarisme est une ligne rouge extrêmement importante pour nos organisations respectives. Nous appelons d’ailleurs à ce que l’accord que nous avons signé le 27 octobre 2023 dans le cadre des négociations sur l’assurance chômage soit repris par le gouvernement.  

Nous ne l’acceptons plus.

Nous portons ensemble trois revendications précises et urgentes :   

1 – Le renoncement aux coupes budgétaires annoncées sur le programme 131 ;   
2 – Le refinancement du service public de la Culture par une mobilisation conjointe des partenaires publics ;   
3- La mobilisation du ministère de la Culture pour la sauvegarde du régime spécifique des salarié·es intermittent.es du spectacle et la prise en compte de l’accord du 27 octobre 2023.  

Nous avons besoin de vos signatures pour porter ces revendications, pour lutter contre l’austérité culturelle ! Signez en flashant le QrCode ci-contre ou via le lien :

https://lc.cx/PétitionNONausteritéculturelle

*Liste des premiers signataires (liste non exhaustive) : LA CGT SPECTACLE – Fédération nationale des syndicats du spectacle, du cinéma, de l’audiovisuel et de l’action culturelle CGT. SFA CGT – Syndicat Français des artistes interprètes. SYNPTAC CGT – Syndicat National des Professionnel·les du Théâtre et des Activités Culturelles. SNAM CGT – Union Nationale des Syndicats d’Artistes Musiciens (Enseignants et Interprètes) de France CGT. SNMS CGT – Syndicat National des Metteuses et Metteurs en Scène. F3C CFDT – Communication Conseil Culture CFDT. SYNAVI – Syndicat National des Arts Vivants. PROFEDIM – Syndicat professionnel des Producteurs, Festivals, Ensembles, Diffuseurs Indépendants de Musique. SNAPAC – CFDT – Syndicat national des Artistes et des Professionnels de l’animation, du Sport et de la Culture. SNSP – Syndicat National des Scènes publiques. SYNDEAC – Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles …         

Communiqué De Presse Intersyndical CCNEAC Coupes budgétaires dans la Culture

Commission Paritaire Permanente de Négociation et d’Interprétation (CPPNI) de la
branche des entreprises artistiques et culturelle

COMMUNIQUÉ – Paris, 13 mars 2024


Par les coupes budgétaires massives que Bruno Le Maire a annoncées, le Gouvernement porte une attaque sans précédent à l’encontre des services publics au détriment de l’intérêt général. Car ce sont bien eux qui sont les victimes des arbitrages rendus, loin du Parlement pourtant chargé de voter les lois de finances ou leurs corollaires rectificatifs. Le décret du 21 février dernier, “portant annulation de crédits”, publié au journal officiel du 22 février dernier offre une liste édifiante des abandons ainsi décidés sous l’aune d’une austérité budgétaire qu’une politique d’impôts justes et efficaces auraient permis d’empêcher. Les déclarations par voie de presse du 7 mars dernier, du même ministre de l’Economie et des finances, confirment que les coupes de février ne sont qu’une première étape.
Les organisations de salariés et d’employeurs membres de la branche des entreprises artistiques et culturelles, ont découvert ces annonces avec effroi. En effet, le service public des arts et de la culture que nous représentons ensemble est touché par cette première vague “d’annulation de crédits” d’un niveau de plus de 202 millions d’euros, dont près de 96 millions visent directement le programme de la création artistique. Ce niveau de coupes budgétaires est absolument inédit et menace l’ensemble de l’écosystème déjà largement déstabilisé par les effets de la sortie complexe de la crise sanitaire, et des crises inflationniste et énergétiques plus récentes.
Concrètement, alors que nous étions en train de travailler à notre négociation annuelle obligatoire des salaires de la branche du spectacle vivant public, cette négociation est momentanément interrompue. Le déficit financier qui est en train de se construire rend l’accord difficile à atteindre assurément car non financé. Pourtant les demandes légitimes des salariés devront obtenir une réponse et donc les hausses de salaires risquent de se faire aux dépens de l’activité artistique elle-même et du volume d’emploi, car pour beaucoup de structures les déséquilibres économiques provoquent des licenciements voire des liquidations d’entreprises. Nous refusons de poursuivre dans cette voie mortifère.
Concrètement, l’activité artistique est en berne, les équipes artistiques ne peuvent plus produire, les coproducteurs et les diffuseurs voient le disponible pour l’activité artistique fondre comme neige au soleil. Un plan social à bas bruit est en oeuvre. Des milliers d’emplois sont directement menacés dans le silence assourdissant des élus de la nation. Nous ne pouvons pas l’accepter sans rien dire. Nous ne pouvons pas par ailleurs laisser dire que l’affaire est réglée par des astuces budgétaires, car nous sommes solidaires de tout l’écosystème : toute coupe dans le programme 131 impacte directement ou indirectement nos adhérents et adhérentes. Nous resterons solidaires et déterminés à empêcher ces mesures gravissimes.
Concrètement, le plan « mieux produire mieux diffuser » sur lequel tous et toutes avons dénoncé une mise en oeuvre chaotique et au-delà une logique de concentration dangereuse pour la diversité artistique, ne pourra pas se déployer dans ce contexte nonobstant le maintien de cette ligne budgétaire. Comment en effet chercher à « mieux » produire ou « mieux » diffuser, quand plus personne ne parvient à produire ni à diffuser dans des conditions décentes ?
Concrètement, le Pass culture est totalement épargné des efforts de régulation alors même que la masse budgétaire non consommée en 2023 est importante. Nous en contestons tous et toutes le modèle de soutien à la seule demande, et continuons de dénoncer le niveau de financement public qui devrait constituer la première piste de redéploiement dans ce contexte budgétaire.
L’attaque est tellement forte que notre conviction est de rassembler tous les opérateurs des services publics ainsi mis en cause : car cette politique ne vise pas seulement la culture, elle vise aussi l’éducation nationale, la recherche, la transition écologique dans des proportions totalement invraisemblables, les collectivités territoriales, pour ne citer que les services publics indissociablement liés à la politique culturelle. Mais la santé, le logement, la politique de la ville, les affaires étrangères et tant d’autres encore, sont aussi impactées.
Bruno Le Maire, premier comptable de ces décisions, répète à l’envie le tabou gouvernemental contre tout nouvel impôt alors que les entreprises du CAC 40 affichent de nouveaux records de profits.
Pendant ce temps-là, le Premier ministre parasite les négociations des partenaires sociaux sur l’assurance chômage. Le ministre de l’Economie et des finances exprime même son souhait définitif de la fin du paritarisme social, et menace une nouvelle fois de s’en prendre à celles et ceux qui, dans notre pays, se trouvent privés d’emploi. La mise en cause directe du paritarisme est une ligne rouge extrêmement importante pour nos organisations respectives. Nous appelons d’ailleurs à ce que l’accord que nous avons signé le 27 octobre dernier dans le cadre des négociations sur l’assurance chômage, soit repris par le Gouvernement.
Le renoncement social et écologique de ce Gouvernement est hors de proportion. Nous ne l’acceptons plus.
Tous et toutes, nous allons nous organiser pour que nos compatriotes mesurent les enjeux de ce qui est en train de se passer. Des élections ont lieu d’ici trois mois, c’est une bonne occasion de faire passer des messages. Nos salles de spectacles, de concert, d’opéra, nos pistes de cirque et tous les espaces de diffusion des créations artistiques sont pleines d’électeurs et électrices, nous allons nous adresser à eux.
Nous portons ensemble trois revendications précises et urgentes :
● le renoncement aux coupes budgétaires annoncées sur le programme 131 ;
● le refinancement du service public de la culture, des équipes artistiques et lieux indépendants, qui oeuvrent pour l’intérêt général et de la préservation des emplois, par une mobilisation conjointe des partenaires publics ;
● la mobilisation du ministère de la culture en faveur de la sauvegarde du régime de l’intermittence du spectacle.

Les signataires :

LA CGT SPECTACLE – Fédération nationale des syndicats du spectacle, du cinéma, de l’audiovisuel et de l’action culturelle CGT

F3C CFDT – Communication Conseil Culture CFDT

FNAR – Fédération nationale des Arts de la rue

FSICPA – Fédération des structures indépendantes de création et de production artistiques / SYNAVI – Syndicat National des Arts Vivants / SCC – Syndicat des cirques et compagnies de création

LES FORCES MUSICALES – Syndicat professionnel des Opéras, Orchestres et Festivals lyriques

PROFEDIM – Syndicat professionnel des Producteurs, Festivals, Ensembles, Diffuseurs Indépendants de Musique

SFA CGT – Syndicat Français des Artistes-interprètes

SMA – Syndicat des Musiques Actuelles

SNAM CGT – Union Nationale des Syndicats d’Artistes Musiciens (Enseignants et Interprètes) de France CGT

SNAPAC – CFDT – Syndicat national des Artistes et des Professionnels de l’animation, du Sport et de la Culture

SNMS CGT – Syndicat National des Metteuses et Metteurs en Scène

SNSP – Syndicat National des Scènes publiques

SUD – Culture – Syndicat “Solidaires, Unitaires et Démocratiques” de la Culture

SYNDEAC – Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles

SYNPTAC CGT – Syndicat National des Professionnel·le·s du Théâtre et des Activités Culturelles

8 mars : agir pour l’égalité, visuels et bon de commande

Agir pour l’égalité le 8 mars et toute l’année
Outils de campagne sur le terrain et sur les réseaux

Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes. Par ailleurs, le bureau fédéral a décidé de faire de l’année 2024 l’année de l’égalité salariale ce qui rejoint l’idée qu’à la F3C CFDT, on agit pour l’égalité toute l’année.
Le pôle communication met à la disposition des équipes syndicales des visuels à utiliser pour faire des affiches, des tracts à imprimer ou à utiliser sur les réseaux sociaux.

Tous les visuels sont à télécharger sur le site de la F3C

INSCRIPTION DE L’IVG DANS LA CONSTITUTION

La CFDT salue un jour historique pour les femmes du monde entier
Cinquante ans après la loi Veil, le Parlement a gravé dans la constitution la « liberté
garantie pour les femmes d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ».
La CFDT salue un jour historique.
Un jour historique pour la liberté des femmes françaises. Un jour historique pour les femmes
européennes en proie à de grandes disparités dans l’application de ce droit fondamental. Un
jour historique pour les femmes du monde entier qui, faute d’accès à des conditions
d’avortement sécurisées, meurent par dizaine de milliers ou sont emprisonnées. Un jour
historique pour toutes les associations et les organisations qui se sont battues sans relâche
pendant des années pour cette inscription.
Le droit à l’avortement n’est jamais garanti. En juin 2022, une décision de la cour suprême des
États-Unis de ne plus le protéger sur l’ensemble du territoire américain a rapidement conduit
une vingtaine d’États les plus conservateurs à le réduire ou à en interdire l’accès. La France
n’est pas à l’abri. L’inscription de l’IVG dans la constitution la préserve désormais de tout
retour en arrière. C’est une victoire pour les femmes. C’est une victoire pour toute la société.